La trâme ancestrâle

La photographie capte ce que l’œil nu perçoit rarement : le rituel silencieux de la coiffure, socle invisible des liens familiaux et des mémoires afro. Sous une lumière chaude, le geste de Maman Solaire qui coiffe Laure devient langage, héritage qui traverse les générations et s’inscrit dans chaque boucle, chaque fibre.


Le fauteuil, placé au centre de la composition et baigné d’ombre douce, se fait trône de transmission : c’est là que Laure accueille les mains expertes de sa mère, renouant avec le fil de ses racines. Les deux petites filles, Believe et Keysha, incarnent la continuité et le cycle perpétuel des origines, témoignant que l’on revient toujours à ses racines.


Dans ce cadre équilibré et intime, la chevelure afro dépasse sa simple texture pour devenir un emblème de l’héritage culturel et de la résistance historique. Chaque geste de coiffure est une reconstruction, un passage entre hier et aujourd’hui, une façon de dire : "je n’oublie pas d’où je viens."


À travers la beauté du quotidien révélée par l’objectif, la coiffure devient un rituel fondateur qui relie, rassemble et transmet ; un lien invisible qui fait vibrer l’histoire et la force du cheveu afro, couronne vivante et mémoire du présent. Tel le fil d’Ariane, ce lien guide et connecte ces femmes dans un parcours intime mêlant héritage et renaissance.

La photographie capte ce que l’œil nu perçoit rarement : le rituel silencieux de la coiffure, socle invisible des liens familiaux et des mémoires afro. Sous une lumière chaude, le geste de Maman Solaire qui coiffe Laure devient langage, héritage qui traverse les générations et s’inscrit dans chaque boucle, chaque fibre.


Le fauteuil, placé au centre de la composition et baigné d’ombre douce, se fait trône de transmission : c’est là que Laure accueille les mains expertes de sa mère, renouant avec le fil de ses racines. Les deux petites filles, Believe et Keysha, incarnent la continuité et le cycle perpétuel des origines, témoignant que l’on revient toujours à ses racines.


Dans ce cadre équilibré et intime, la chevelure afro dépasse sa simple texture pour devenir un emblème de l’héritage culturel et de la résistance historique. Chaque geste de coiffure est une reconstruction, un passage entre hier et aujourd’hui, une façon de dire : "je n’oublie pas d’où je viens."


À travers la beauté du quotidien révélée par l’objectif, la coiffure devient un rituel fondateur qui relie, rassemble et transmet ; un lien invisible qui fait vibrer l’histoire et la force du cheveu afro, couronne vivante et mémoire du présent. Tel le fil d’Ariane, ce lien guide et connecte ces femmes dans un parcours intime mêlant héritage et renaissance.

La trâme ancestrâle

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